dimanche 4 novembre 2012

C'est compliqué courir

Courir, c'est simple. Par contre, trouver le temps de le faire est parfois tellement difficile. Cette semaine, le monde se liguait contre moi.

Dimanche soir
Je me couche avec l'intention de me lever tôt pour faire mon 20 x (1 min. course-1 min. marche). Je passe une mauvaise nuit. A trois heures du matin, bien réveillée dans mon lit, je sais que je ne serai pas très en forme pour aller courir à 5 h 15. Je laisse donc de côté le réveil-matin en me disant que je pourrai tout simplement faire ce petit 40 min sur l'heure du dîner.

Lundi matin, 10 h 45
Conférence téléphonique qui doit se terminer à 11 h 45 et qui finalement s'étire jusqu'à 12h 40. Je m'en vais dîner piteusement en me disant que j'irai faire ma course après le souper. 

Lundi, 17 h
Sans entrer dans les détails, je feele vraiment mal (physiquement). Assez mal pour ne pas avoir le goût d'aller courir. C'est rare. Finalement, j'ai débuté un traitement d'antibiotiques le mercredi suivant. Je me couche à 18 h et je me dis que si ça va mieux, j'irai mardi matin.  

Mardi 6 h
J'ai peur un peu de Sandy. Il vente pas mal dans mon coin et je n'ai pas envie de recevoir un arbre sur la tête. Que voulez-vous, je suis un peu moumoune. Je me dis que j'irai faire ma course mardi soir. Impossible de me libérer sur l'heure du dîner, je suis en formation avec mes collègues.

Mardi 17 h
Chum a une activité avec ses collègues du bureau. Il me dit qu'il devrait arriver vers 20 h. Ça me va.

Mardi 19 h 30
Chum appelle pour dire qu'ils ont vraiment du fun et qu'il pourrait arriver pour 21 h. Je lui dit de laisser faire, que c'est tard un peu pour sortir courir, de profiter de sa soirée et que je vais m'organiser.

Mardi 20 h 15
Je vais coucher Fiston et j'embarque sur le tapis vers 20 h 30. Il est trop tard pour caller une gardienne. C'est plate 40 min. sur le tapis mais c'est mieux que rien. Finalement, Grand-papa arrive vers 21 h pour coucher à la maison (il avait un rendez-vous dans mon coin le lendemain). J'enfile mes pantalons, je mets une veste et je me sauve dehors. Merci Grand-papa! 

Et vous, est-ce que ça vous arrive des semaines comme ça ? 

2 commentaires:

Mimi a dit…

C'est ça la vie, la vraie. On a de bonnes intentions, on essaie fort, fort. La vie. Elle est là. Elle suit son cours et nous ben que veux-tu, on surf la vague. Est-ce aussi cette température à faire déprimer le plus jovialiste des jovialistes ? J'ai eu ce genre de semaine: antibio moi aussi, pas filé fort fort non plus. Pas couru du tout. Même pas ce week-end. Je me dis que mon corps à besoin de repos...tiens c'est bon pour ma conscience ! La prochaine semaine est une autre semaine, je me reprendrai :)

The Northern Tri a dit…

Oui tu as raison, mais si ca serait facile, tout le monde le ferait.... Bon courage