samedi 7 septembre 2013

Prochain défi: Demi-marathon des Couleurs

Maintenant que la saison de triathlon est terminée et que je suis en bonne forme (YEAH!), je peux enfin me mettre à préparer un défi d'automne. J'ai choisi le Demi-marathon des couleurs qui a lieu à la mi-octobre à Bécancour. J'avais participé à l'édition 2011, en courant le 10 k. Mon premier 10 k à l'époque où je n'étais pas encore une triathlète. J'avais bien aimé le parcours. Maintenant, je me prépare pour l'épreuve de demi-marathon.

Quoiqu'elle sera brève, la préparation à ce défi m'enthousiasme et me fait peur à la fois.

Ça m'enthousiasme car j'aime courir l'automne. Parce que je me dis que je vais travailler autre chose que la course à pied de courtes distances. Parce que cette année, je peux (enfin) le faire car je suis en forme. Parce que j'ai essayé des entraînements avec le club de trail de mon coin, que j'ai aimé ça et que ça me donne envie de courir et de m'améliorer.

Mais... mon volume de course à pied a été assez stable au cours des dernière semaines. Autour de 25 k, pas bin bin plus. Et souvent sous forme de bricks, donc pas vraiment souvent de sorties de 10 k et plus en continu. Mon corps s'est bien adapté à cette demande et j'ai amélioré mes temps. Et par dessus tout, je ne me suis pas blessée.

Sauf que se préparer pour un demi-marathon exige que je sorte de cette zone de confort en augmentant (autant que je peux le tolérer) le volume de course. Evidemment, je crains cette augmentation. Je vais devoir la gérer avec mon gros bons sens. Ce qui veut dire (notamment) être délinquante et ne pas faire tout ce que Coach prescrit si je «ne le sens pas». Très difficile mais je m'en viens pas mal bonne à ce jeu. Je reconnais aussi mieux les signaux de mon body de princesse au petit pois. Je sais davantage reconnaître la zone verte (ok, tu peux continuer), jaune (fais attention!) et rouge (stop, il y a péril en la demeure!)

Même s'il est vrai qu'une certaine appréhension m'habite, je me dis aussi que je dois me faire confiance. J'ai quand même déjà réussi à courir 21.1 k dans un parcours pas si facile, avec une préparation minimale en course à pied et de surcroît, avec 90 k de vélo dans les jambes. Et je m'en suis pas si mal tirée.

Alors, qui ne risque rien n'a rien.

Mais mettons que je vais sortir ma calculatrice et que ce risque sera calculé. A suivre...






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